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1.
Ann Dermatol Venereol ; 150(2): 114-120, 2023 Jun.
Artículo en Inglés | MEDLINE | ID: covidwho-20231149

RESUMEN

BACKGROUND: In areas of low physician density, especially as regards dermatologists in France, there is an increasing interest in tele-expertise. This is particularly the case in the Sarthe department, where the number of physicians continues to decline and access to care was further limited by the COVID 19 epidemic. STUDY DESIGN: We retrospectively collected data from tele-expertise requests submitted to Le Mans General Hospital by general practitioners via a dedicated platform between May 6, 2019, and April 9, 2021. RESULTS: Six hundred and forty three requests relating to 90 different diagnoses were recorded during this period. One hundred and thirty four patients (20% of requests) were invited to attend a face-to-face consultation within an average of 29 days. DISCUSSION: Through the use of tele-expertise at Le Mans Genreal Hospital it was possible to introduce a means of tackling the problem of the lack of dermatologists in the Sarthe department. Rapid responses enabled the number of consultation requests to be reduced, leading to fewer population displacements in the context of the present pandemic. CONCLUSION: These initial results are encouraging and confirm that tele-expertise seems a satisfactory option to optimize access to care for populations in areas of low physician density.


Asunto(s)
COVID-19 , Médicos , Telemedicina , Masculino , Humanos , Estudios Retrospectivos , Hospitales Generales , COVID-19/epidemiología , Francia
2.
Revue de Médecine Interne ; 42:A119-A119, 2021.
Artículo en Francés | Academic Search Complete | ID: covidwho-1265849

RESUMEN

Les services de Médecine Interne mènent une importante activité de recours expert et de recherche, grevée par plusieurs obstacles. L'activité d'avis spécialisés est chronophage, non valorisée, et limitée par l'impossibilité d'échanger simplement les éléments du dossier médical. L'activité de recherche clinique est limitée par la fréquence des visites protocolaires. L'objectif de ce travail est de déterminer si la télémédecine (TLM) peut contribuer à résoudre ces difficultés. Concernant l'activité de recours, nous avons demandé aux médecins de déclarer les avis donnés à l'aide d'un formulaire standardisé, afin de déterminer s'ils validaient les critères de téléconsultation (TLC) ou de télé-expertise (TLE). Concernant l'activité de recherche, nous avons remis aux investigateurs et à 50 patients un questionnaire sur l'acceptabilité de TLC protocolaires. Concernant l'activité de recours, on dénombrait 120 avis (soit 21 h) hebdomadaires, dont 29 % aux patients et 69 % à des médecins. Soixante et un pour cent des avis aux patients validaient les critères de TLC ;18 % des avis aux médecins ceux de TLE. Concernant l'activité de recherche, 70 % des investigateurs considéraient la fréquence des visites comme limitant les inclusions ;près de la moitié des patients serait favorable au recours à des TLC à la place (40 %) ou en plus (56 %) des visites présentielles. En termes de facturation, la TLM représente un revenu potentiel de 300 € hebdomadaires pour le TLE et 616€ hebdomadaires pour le TLC. Si le recours à la TLM comme procédure dégradée au présentiel s'est démocratisé avec la pandémie, les solutions qu'elle apporte aux difficultés rencontrées dans les activités d'avis et de recherche peuvent contribuer à intégrer pleinement son usage dans le suivi standard des patients. Si tel était le cas, on pourrait tout à fait imaginer avec ce budget (47 632 €/an) pouvoir financer un praticien hospitalier supplémentaire à temps partiel. (French) [ABSTRACT FROM AUTHOR] Copyright of Revue de Médecine Interne is the property of Elsevier B.V. and its content may not be copied or emailed to multiple sites or posted to a listserv without the copyright holder's express written permission. However, users may print, download, or email articles for individual use. This abstract may be abridged. No warranty is given about the accuracy of the copy. Users should refer to the original published version of the material for the full abstract. (Copyright applies to all Abstracts.)

3.
Annales de Dermatologie et de Vénéréologie ; 147(12, Supplement):A75, 2020.
Artículo en Francés | ScienceDirect | ID: covidwho-942779

RESUMEN

Introduction Les patients ayant une maladie bulleuse auto-immune (MBAI) étant à risque d’infection (âge, traitement corticoïde et/ou immunosuppresseur), nous avons évalué le risque de la COVID-19 et de ses formes sévères chez les patients ayant une MBAI. Matériel et méthodes Cette étude rétrospective multicentrique (49 services de dermatologie) a inclus tous les cas connus de COVID survenus entre janvier et juin 2020 en France métropolitaine. Les cas ont été classés en certains (PCR+), probables (PCR− ou non faite, TDM pulmonaire évocateur) ou possibles (PCR et TDM négatifs ou non faits mais signes cliniques et/ou cas contacts). L’incidence cumulée des cas de COVID a été calculée à partir des cas certains et hospitalisés de patients MBAI suivis dans chaque service, puis comparée à celle dans la population générale sur la même période (données Santé Publique France) après standardisation indirecte sur l’âge et la région. L’incidence et le pronostic ont été analysés pour l’ensemble des MBAI et pour le sous-groupe ayant reçu du rituximab (RTX) dans les 9 derniers mois. Résultats Incidence : 59 cas de COVID-19 ont été recensés (âge : 73,1±16,2 ans) parmi 5180 patients suivis pour une MBAI : 29 (49 %) correspondaient à des cas certains, 8 (14 %) probables et 22 (37 %) possibles. Les MBAI étaient une PB (n=21, 36 %), une P muqueuse (PM) (PC/EBA, n=19, 32 %), un pemphigus (n=18, 31 %) et 1 P gestationnelle (n=1, 2 %). Le ratio d’incidence standardisé (RIS) était de 0,42 [IC95 % : 0,20–0,80] p=0,005 pour les PB, 1,02 [0,37–2,26], p=0,91 pour les pemphigus et de 1,18 [0,55–2,23], p=0,62 pour les PM. Parmi les 516 patients ayant reçu du RTX, on comptait 22 cas possibles probables ou certains d’infection COVID correspondant à un RI=5,37 [3,15–8,96], parmi lesquels 13 cas probables ou certains (RI=4,90 [2,43–9,40]) par rapport aux patients n’ayant pas reçu de RTX, et un RI de formes certaines et hospitalisées de 3,62 [1,29–8,85]. Pronostic 30 cas (51 %) ont été hospitalisés pour COVID et 15 (25 %) sont décédés (RR=1,63 [0,83–2,55] p=0,13 par rapport à la population générale ajustée à l’âge et à la région. Un patient MBAI avait 3,4 [2,2–5,1] fois plus de risque de décéder sur la période épidémique s’il contractait la COVID que s’il ne la contractait pas. L’âge moyen des patients ayant une forme sévère (hospitalisation ou décès) de COVID était plus élevé que celui de ceux ayant une forme non sévère (77,9±11,2 vs 65,0±19,3, p=0,006). Les RR de forme sévère des PM/pemphigus avec COVID probable ou certaine traités par RTX (âge moyen 68,8±14,9) étaient respectivement de 0,77 [0,45–1,33] p=0,33 et de 0,51 [0,08–2,56] p=0,40 par rapport aux PM/pemphigus avec COVID non traités par RTX (âge moyen 76,7±9,1). Discussion La COVID entraîne une forte surmortalité chez les patients MBAI. L’incidence semble particulièrement élevée parmi les patients ayant reçu du RTX, sans que l’on puisse conclure à une plus grande sévérité de la COVID-19 chez ces patients.

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